Le dimanche après Pâques est le Dimanche de la miséricorde . C’est Saint Jean Paul II qui institua cette fête en 2000 le jour de la canonisation de Sainte Faustine. Le Christ lui avait dit « La Fête de la miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu’elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques ».
La miséricorde est une attitude caractéristique de Dieu qui peut le définir tout entier : comme le disait Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, « Il n’est qu’amour et miséricorde ». La miséricorde est révélatrice du soin dont le Père entoure ses enfants : Dieu écoute avec attention ce qui monte du cœur de l’homme ce qui provoque en Lui une attention quasi-maternelle. L’homme peut alors accepter de voir la misère, la pauvreté, l’étroitesse de sa vie.
La miséricorde est une attitude caractéristique de Dieu qui peut le définir tout entier : comme le disait Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, « Il n’est qu’amour et Miséricorde ». La miséricorde est révélatrice du soin dont le Père entoure ses enfants : Dieu écoute avec attention ce qui monte du cœur de l’homme ce qui provoque en Lui une attention quasi-maternelle. L’homme peut alors accepter de voir la misère, la pauvreté, l’étroitesse de sa vie.
Sainte Faustine
Première sainte canonisée en l’an 2000, au début du XXIe siècle, par le Pape Jean-Paul II, sainte Faustine Kowalska est née le 25 août 1905 dans un petit village de Pologne. Sœur Marie-Faustine meurt à Cracovie le 5 octobre 1938, âgée d’à peine 33 ans.
Saint Jean-Paul II
Premier pape polonais de l’histoire, Jean-Paul II a dès le jour de l’inauguration de son pontificat lancé un appel aux jeunes : « Vous êtes l'espérance de l’église ». Pape globe-trotteur, ardent défenseur de la vie, il est aussi le pape de la miséricorde .
Jerzy Popieluszko
Né Alphonse Popieluszko le 14 septembre 1947, le père Jerzy Popieluszko a été baptisé dans l’église du village d’Okopy, près de Suchowola. Il a été élevé dans une famille très catholique, où la prière était quotidienne et la fidélité à l’Évangile.
Saint Maximilien Kolbe
Prêtre polonais, Maximilien Kolbe est connu pour avoir donné sa vie à la place d’un père de famille dans les camps de la mort en 1941. Le pape Jean-Paul II l’a canonisé comme martyr de la foi, le 10 octobre 1982.
Édith Stein
Philosophe et carmélite, Édith Stein vient au monde dans une famille juive le 12 octobre 1891. En 1921, la lecture de l’autobiographie de Thérèse d’Avila l’incite à se convertir au catholicisme. Elle est habitée par une spiritualité de la Croix. Elle meurt, victime de la shoah le 9 août 1942.
Saint Martin de Tours
Que les Églises d’Orient appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison.
Maïti Girtanner
Maïti Girtanner (1922-2014) est une figure de la résistance française. A 21 ans elle est arrêtée et torturée. Après de longues années de souffrances physiques, morales et de prières, elle parvient à pardonner à son bourreau, un médecin nazi.
Claire Ly
Avril 1975, les khmers rouges deviennent les maîtres du Cambodge. Pour Claire Ly, professeur de philosophie, commence alors un long calvaire : camp de travail à la campagne, exécutions sommaires, endoctrinement des enfants, malnutrition, chasse aux bourgeois et aux intellectuels. Après des sentiments de haine et de révolte, elle découvre ce qu’elle appelle « le dieu des occidentaux » et, elle qui est d’origine bouddhiste, s’est peu a peu converti au christianisme.